Cancer, dénutrition et CNO
Certains compléments nutritionnels oraux (CNO) aident à compléter les besoins nutritionnels des personnes soignées pour un cancer. Panorama de l’offre actuelle…

En relation étroite avec l’équipe soignante (en particulier, cancérologues, chirurgiens et anesthésistes), le diététicien doit intervenir, dès que possible après le diagnostic de cancer, pour calculer la consommation alimentaire, évaluer le statut nutritionnel et anticiper les risques de dénutrition liés aux traitements. Ainsi, il est important de prévenir la perte de poids et de masse musculaire, ainsi que toute carence en vitamines, minéraux et oligoéléments.
Au cas par casLes diététiciens disposent par ailleurs d’un arsenal thérapeutique permettant de répondre aux spécificités de chaque patient. « On maintient avant tout l’alimentation classique, en l’enrichissant éventuellement pour compenser la diminution des apports. Si cela ne suffit pas, on passe aux CNO (compléments nutritionnels oraux) », confirme Anne-Caroline...
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