Des propositions concrètes pour limiter l’exposition des populations aux AUT
Deux chercheuses de l’Inserm et un chercheur d’INRAE ont participé à une série de trois articles publiés le 19 novembre dans The Lancet consacrés aux conséquences sur la santé de la consommation d’aliments ultra-transformés (AUT).
Les auteurs présentent une feuille de route pour évoluer vers une réglementation efficace et des régimes alimentaires plus sains, accessibles et abordables. Les données examinées dans le 1er article de la série montrent que les régimes riches en aliments ultra-transformés sont associés à une surconsommation alimentaire globale, à une mauvaise qualité nutritionnelle (trop de sucre et de mauvaises graisses, trop peu de fibres et de protéines) et à une exposition plus élevée à des produits chimiques et additifs potentiellement problématiques pour la santé. Selon Mathilde Touvier, directrice de recherche Inserm, coordinatrice de la cohorte NutriNet-Santé et son collaborateur Bernard Srour, chercheur INRAE, qui ont participé au 1er article de la série : « De plus en plus d’études montrent qu’une alimentation riche en aliments ultra-transformés nuit à la santé. Si un débat sur les aliments ultra-transformés au sein de la communauté...
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